Les indicateurs économiques de la Russie par le Fil Franco-Russe

Retrouvez l'évolution des différents indicateurs économiques et sociétales de la Ruissie sur plusieurs années, pour certains depuis 2006.

Indicateurs économiques RussieIndicateurs économiques de la Russie par Le Fil Franco-Russe

 

L’économie russe se contractera de 15% en 2022 d’après les prévisions de l’Institute of International Finance, un organisme qui réunit les grandes banques commerciales et d’investissement ainsi que des fonds de pension à travers le monde.

L’inflation a été supérieure à 17% en mai 2022 en Russie, après avoir approché 18% en avril et 16,7% en mars, calculée sur douze mois par l’agence Rosstat.

Plus de 1000 entreprises occidentales s’opposent à la guerre en quittant la Russie ou en réduisant drastiquement les conditions de sa présence, selon un comptage réalisé par Yale School of Management en juin 2022. Soit plus de 80% des entreprises qui étaient présentes sur le marché russe. Elles sont 246 entreprises occidentales qui refusent de réagir, dont 26 entreprises françaises, notamment Auchan, Bonduelle, Clarins, Dessange, Etam, Lacoste, Vinci… Certaines entreprises classées comme « restantes » sont en train de négocier les conditions de leur sortie.

Près de 83% des Russes exprimaient une appréciation positive de l’action de leur président fin mars 2022 selon le cabinet Levada, 79% selon FOM, 81% selon Vtsiom. Ils n’étaient que 69% à exprimer le même avis en janvier.

De 84 roubles pour un euro avant la guerre, la monnaie russe s’est envolée à 150 roubles pour un euro fin février, pour redescendre à 95 roubles pour un euro. La Banque de Russie a dépensé près de 40 milliards de dollars en quelques semaines pour soutenir le rouble.

7,9% : c’est la croissance du commerce de détail en Russie entre janvier et octobre 2021 par rapport à la même période 2020. Le marché a atteint l’équivalent de 377 milliards d’euros sur cette période selon Rosstat. Une hausse qui est à rapprocher l’inflation, celle-ci à frôlé les 8% sur la même période, le résultat est neutre.

Entre 15% et 25% : ce serait la hausse moyenne des prix sur le segment de l’habillement et des chaussures en 2022 en Russie selon les prévisions du cabinet Fashion Consulting Group.

15% : c’est le taux des surfaces vacantes dans les centres commerciaux à Moscou fin 2021 selon le cabinet Knight Frank. Soit trois points de plus que fin 2020.

55% : c’est la part des salariés vaccinés dans le retail en Russie début octobre 2021 selon Denis Mantourov, ministre du Commerce. Le taux des vaccinés à travers le pays ne dépassait pas 30% à cette date.

12,2% des surfaces du format commerce de rue dans le centre ville de Moscou sont vides, selon le cabinet Colliers. La part des surfaces vacantes a augmenté de près de 4 points depuis douze mois.

100 millions d’euros : c’est le prix de quatorze centres commerciaux totalisant 168 000 m², situés en Sibérie dans la région de Kemerovo et Krasnoïarsk, mis en vente par la Sberbank. La banque publique cherche à se débarrasser des sites commerciaux hérités suite à la défaillance des promoteurs durant la crise sanitaire.

6,6% : c’est l’inflation en Russie en juin 2021 calculée sur douze mois par l’agence Rosstat. L’indice des prix des produits alimentaires a affiché une hausse de 8,67% sur la même période.

67% des Russes déclaraient faire des économies sur l’achat de l’habillement au second trimestre 2021 selon la division consommateurs et distribution de l’observateur NielsenIQ.

Pour 48% des salariés russes, le refus de l’augmentation salariale est une raison suffisante pour changer d’entreprise selon une enquête réalisée par le portail Rabota.ru et le département e-santé de la banque Sberbank.

6,02% : c’est l’inflation au mois de mai 2021 calculée sur douze mois, selon l’agence Rosstat. Les prix de l’alimentation ont grimpé de plus de 8% sur la même période.

12,2% de la population russe ont reçu au moins une dose de vaccin début juin 2021 (41,5% en France à la même date). La campagne de vaccination a encore du mal à décoller, les Russes se montrent massivement anti-vaccin.

820 euros par mois : ce sont les revenus moyens d’un coursier à Krasnodar en 2020. La moyenne des revenus dans la région ne dépasse pas 370 euros. L’explosion de la logistique de livraison pendant la pandémie a offert des chances à un grand nombre de travailleurs indépendants à travers le pays.

Moins 24% : c’est la baisse du rouble au taux de change par rapport à l’euro entre janvier et décembre 2020. Cette dépréciation handicape tous les segments de la consommation grand public en 2021.

2,7% : c’est la prévision de la croissance en Russie en 2021 selon l’OCDE. La croissance moyenne mondiale est estimée à 5,6%. Le PIB russe a baissé de moins 3,6% en 2020, quand la baisse moyenne mondiale était de moins 3,4%.

600 000 m² de surfaces de vente nouvelles devraient arriver sur le marché russe en 2021, dont un tiers à Moscou et les deux tiers dans les grandes villes dans les régions, selon le cabinet immobilier Cushman & Wakefield.

Moins 25% : c’est la contraction du marché de la mode en Russie en 2020 selon Fashion Consulting Group.

Plus 7% : c’est la hausse des prix des produits alimentaires en janvier 2021, en calcul annuel, selon le cabinet FinExpertiza.

29,7% : c’est la part du budget familial que les consommateurs russes dépensent pour l’achat de produits alimentaires selon l’agence RIA Novosti. Soit deux fois plus que la moyenne des consommateurs européens.

Plus 14% : c’est la hausse des prix sur le panier composé des produits alimentaires de base et d’autres produits de grande consommation, entre octobre 2019 et octobre 2020, constatée par Romir.

30 milliards d’euros : ce sera la taille du marché du e-commerce en Russie en 2020, en hausse de 34% selon le cabinet Infoline. Dont 23 milliards réalisés sur le marché intérieur.

Entre 23 et 30 millions de salariés russes, soit plus d’un tiers des actifs touchent un salaire « gris » comprenant une partie non déclarée et non cotisée, selon Anatoly Artamonov, président du comité budgétaire du Conseil de fédération.

Moins 25% : c’est la baisse des revenus disponibles des foyers russes entre septembre 2019 et septembre 2020, selon Romir.

28 millions d’euros : c’est le prix que le fonds Baring Vostok va payer à un entrepreneur russe indélicat pour que le Français Philippe Delpal et l’Américain Michael Calvey retrouvent leur liberté.

61% des entreprises russes privilégient la menace d’une baisse de salaire pour recadrer et motiver leurs employés, selon le portail de recrutement Rabota.ru.

Une baisse des ventes entre 25% et 40% pour l’habillement, les chaussures et les accessoires sur le marché russe, ce sont les prévisions de Fashion Consulting Group pour 2020.

270 millions d’euros, c’est le volume des contrefaçons du luxe vendus sur les réseaux sociaux en Russie selon le cabinet BrandMonitor qui pointee une hausse de 28% entre juillet 2019 et juin 2020.

Entre 80 et 100 millions d’euros par an, ce sont les pertes attribuées à la corruption chez Auchan Retail Russie selon une enquête interne.

Près de 40% des Russes pourraient changer leurs habitudes de consommation au profit de nouveaux formats de shopping à la sortie de la quarantaine selon Criteo.

5,5 milliards d’euros c’est le marché de la mode enfantine en Russie en 2019, avec une modeste hausse de 1% par rapport à l’année précédente, selon RBK.

260 euros c’est le budget annuel moyen que la femme russe consacre à ses produits de beauté et maquillage selon Picodi.

Le chômage en Russie ne devrait pas dépasser 10% des actifs à la fin de l’année, selon les estimations de la Higher School of Economics.

Seules 10% des entreprises ont pu bénéficier des aides publiques pendant la crise, selon Vladimir Titov, représentant pour les droits des entrepreneurs auprès de la présidence de la Russie.

22% des Russes veulent reprendre les achats de mode rapidement, quelques semaines après la future levée des restrictions sanitaires, dans une enquête du cabinet Romir. Et 36% de plus espèrent revenir à leur niveau habituel de consommation en quelques mois.

Moscou est responsable de la moitié des 124 000 cas de virus recensés à travers le pays à la date du 30 avril. Regroupant 8% de la population du pays, la capitale russe est devenue le principal cluster de l’épidémie, selon les autorités sanitaires.

27% des entreprises russes ont prévu des réductions des salaires dans les six mois à venir et 37% envisageaient des réductions du personnel, selon une enquête réalisée début avril par le portail de recrutement HH.ru.

Près de 40% des Russes ont vu leurs revenus fondre pendant la crise, à cause d’une diminution du salaire, d’une prise de congés sans solde imposée par l’employeur, ou d’un licenciement, selon une enquête réalisée par le service de recrutement Avito Rabota en avril.

88 roubles pour un euro : c’est le nouveau taux de change constaté fin mars. La devise russe était à 69 roubles pour un euro mi-février avant d’entamer un long glissement consécutif à la baisse des prix du pétrole.

Moins 41% : c’est la baisse de la fréquentation des magasins d’habillement et de chaussures dans les centres commerciaux de Moscou durant la troisième semaine du mois de mars par rapport à la même période l’an passé, selon l’indice Shopping Index de Watcom.

108 jours de quarantaine : c’est l’estimation des stocks de produits alimentaires achetés par les consommateurs russes durant la période du 9 au 22 mars selon les statistiques du distributeur X5 Retail Group.

La croissance du PIB en Russie s’est établie à 1,3% en 2019 selon Rosstat. En valeur absolue le PIB avoisine 1 400 milliards d’euros, soit un peu plus de la moitié du PIB de la France.

Seuls 39% des Russes déclaraient faire confiance à Poutine en octobre 2019, contre 59% deux ans plus tôt dans une enquête du cabinet Levada.

9,8 milliards d’euros, c’est la valeur du marché de chaussures en Russie en 2018 selon les estimations de Fashion Consulting Group. Le résultat est identique à celui de 2017, le marché est freiné par l’affaiblissement du rouble.

2,7% des ménages russes déclarent pouvoir envisager l’achat d’une résidence principale ou résidence secondaire, dans une enquête des revenus réalisée par Rosstat. Cette population aisée a gardé son potentiel de consommation malgré la crise.

38 000 tonnes de vêtements et de chaussures d’occasion ont été importées en Russie en 2018, soit 65% de plus qu’en 2016, selon les Douanes.

69% des Russes déclarent réduire leur alimentation pour faire des économies au troisième trimestre 2019, contre 64% trois mois plus tôt dans une enquête réalisée par Sberbank.

4,6% : c’est la prévision de l’inflation russe en 2019 selon Moody’s, tandis que la croissance ne devrait pas dépasser 1,2%.

490 euros : c’est le salaire médian dans les moyennes et grandes entreprises en Russie en juin 2019 selon Rosstat. Cette statistique ne couvre pas les PME et les TPE où les salaires sont plus faibles.

1,2% : c’est la baisse des revenus réels disponibles des consommateurs russes pour les six premiers mois 2019 selon Rosstat.

80% des foyers russes déclarent éprouver des difficultés pour acheter des produits de première nécessité dans les enquêtes de Rosstat en mai 2019.

Seuls 30,5% des Russes font désormais confiance au président Poutine selon une enquête réalisée par le cabinet Vtsiom en mai 2019.

50,6% des consommateurs russes n’achètent plus que des articles en promotion ou soldés, selon les chiffres fournis par Ipsos Comcon en mai 2019.

5,3% : c’est l’inflation sur douze mois calculée par la Banque de Russie début mars 2019.

35% des ménages russes n’ont plus assez d’argent pour s’acheter des chaussures deux fois par an, selon Rosstat.

Le marché de la mode (habillement, chaussures, accessoires) a connu une croissance nulle en roubles en 2018 selon Fashion Consulting Group. Soit une baisse de près de 17% en dollars (et de 15% en euros).

Moody’s vient d’améliorer la notation de la Russie la portant à « Baa3 » contre « Ba » précédemment. La note du pays est désormais dans la catégorie qui permet des investissements autres que spéculatifs.

Entre 40% et 50% du PIB russe est produit par les entreprises du secteur public selon Moody’s qui pointe les risques de « l’étatisation » de l’économie.

Les Russes se disent préoccupés par les hausses des prix (62%), par leur propre appauvrissement (44%) et par la corruption qui progresse dans la société (41%), dans une enquête de Levada en février 2019.

Une inflation de 5,5% en 2019 : c’est la prévision de la Banque de Russie, contre 4,2% en 2018.

53% des Russes souhaitent la démission immédiate de leur gouvernement, contre 40% qui pensent le contraire dans un sondage du cabinet Levada publié en janvier 2019.

Plus 12,8% : c’est la croissance du marché automobile russe en 2018, après plus 11,9% en 2017. Le marché s’est élevé à 1,8 million de voitures et utilitaires selon les statistiques d’AEB.

Plus de 10% : c’est la perte du PIB russe entre 2014 et 2018 selon Bloomberg Economics.

15% : c’est la baisse du rouble au taux de change entre janvier et décembre 2018 (nous avons auparavant annoncé une baisse inférieure mais le rouble a encore chuté les derniers jours de l’année).

13,2% : c’est la croissance des ventes d’habillement en ligne en Russie en 2018 selon Romir.

Moins 1,5% : c’est la baisse des revenus réels disponibles des consommateurs russes en septembre 2018 selon Rosstat. Leurs revenus affichaient déjà une diminution de 0,9% en août.

Seuls 50% des consommateurs russes se déclarent satisfaits par le confort d’achat et l’aménagement intérieur des magasins physiques, selon une étude du cabinet PwC qui note que les Russes se sont habitués au confort des achats en ligne.

63% des touristes russes savent à l’avance ce qu’ils vont acheter lors de leur futur voyage à l’étranger, selon Ipsos qui étudie la tendance des « shopping tours ».

Moins 10% : c’est le plongeon du rouble au taux de change entre juillet et septembre 2018, la devise russe se négocie désormais à plus de 80 roubles pour un euro.

Moins 2% : La moyenne des salaires proposés à l’embauche à St Petersbourg et dans sa région a baissé durant la première moitié 2018, selon les statistiques du portail de recrutement Headhunter.ru.

Plus 17% : c’est la croissance des ventes sur le marché automobile en Russie pour sept mois 2018 comparée à la même période 2017, selon l’AEB.

Une croissance de 1,9% lestée par une inflation à 4,5% en Russie en 2019, ce sont les dernières prévisions de l’agence Fitch.

6 milliards d’euros, c’est le montant des cotisations retraite confisquées par le Kremlin chaque année pour financer les guerres, et qui oblige la Russie à augmenter l’âge légal de départ à de la retraite.

37,9% des Russes déclaraient faire confiance à Vladimir Poutine après l’annonce de l’augmentation de l’âge légal de la retraite en juin 2018, selon le sondage Vtsiom.

1,5% au lieu de 1,7% précédemment : la BERD vient d’abaisser ses prévisions de croissance pour la Russie pour 2018 et 2019.

16 milliards de dollars envolés : ce sont les pertes cumulées de vingt-six milliardaires russes alliés du pouvoir suite à l’écroulement des cotations de leurs entreprises à l’annonce des sanctions personnelles le 9 avril 2018, selon Bloomberg.

13% : c’est la croissance du marché de e-commerce en Russie en 2017 selon l’AKIT. Cette association des professionnels du secteur tablait auparavant sur une croissance de 25% mais la baisse du pouvoir d’achat a freiné les ardeurs des consommateurs russes.

Moins 7% : c’est la baisse des revenus réels disponibles des Russes en janvier 2018 selon Rosstat. L’agence fédérale chargée des statistiques avait d’abord annoncé une hausse des revenus avant de se rétracter.

100 millions d’euros : ce sont les exportations d’habillement en provenance de France sur le marché russe en 2017, en hausse de 11% selon le cabinet ITMM. Soit exactement la même croissance que le marché.

Moins 10,2%, c’est la baisse de fréquentation des centres commerciaux à Moscou fin janvier-début février selon le cabinet Watcom. Le cabinet note que la baisse de fréquentation à cette période ne dépassait pas 4% habituellement.

1,5% : c’est la croissance russe en 2017. Le PIB du pays s’est élevé à 1 315 milliards d’euros selon Rosstat.

La dette extérieure de la Russie a augmenté de près de 3% pour atteindre 529 milliards d’euros en 2017 selon la Banque de Russie.

Les exportations en provenance de l’Union Européenne vers la Russie ont affiché une hausse de 20,2% pour atteindre 79,8 milliards d’euros en 2017, selon Eurostat.

Ils sont 12% des Russes à ressentir une hausse de leur pouvoir d’achat, selon le cabinet Deloitte. Tandis que 44% des consommateurs ressentent plutôt une baisse de leur pouvoir d’achat.

150 millions d’euros : c’est le coût estimé pour les distributeurs de la panne majeure du logiciel des caisses enregistreuses d’origine russe survenue le 20 décembre 2017.

124 millions de dollars en liquide : c’est le trésor découvert par les enquêteurs au domicile d’un colonel du ministère de l’Intérieur, responsable du département anti-corruption.

Moins 8,4%, c’est la baisse du salaire moyen à Moscou depuis le début 2017 selon Rosstat. Au niveau national le salaire moyen est en légère hausse.

Près d’un milliard d’euros, c’est l’estimation des ventes des détaillants physiques lors de la journée Black Friday 2017 par les experts du quotidien Kommersant. Les ventes journalières ordinaires ne dépassent pas 720 millions d’euros.

Plus 11% : c’est la progression des ventes automobiles en Russie sur dix mois 2017 selon AEB Russia.

80 milliards d’euros : c’est le chiffre d’affaires réalisé par cinquante plus grandes entreprises occidentales en Russie en 2016 selon Forbes. Les entreprises françaises à elles seules ont totalisé 13,75 milliards d’euros.

3% : c’est la croissance attendue du secteur du luxe sur le marché russe pour les quatre années à venir selon Euromonitor.

1,5 million de consommateurs : c’est la fréquentation du grand magasin Goum sur la place rouge à Moscou en septembre 2017, en hausse de 30% par rapport à 2016.

7,4 € (518 roubles) c’était le panier moyen d’un consommateur russe urbain en août 2017 selon le cabinet Romir. Soit une hausse de 4% en roubles (et d’environ 8,5% en devises) par rapport au mois d’août 2016.

53% des Russes évitent d’acheter des médicaments par mesure d’économie, sauf cas d’extrême urgence, ou bien privilégient les médicaments les moins chers de la gamme selon une enquête du cabinet Romir. Ils étaient 50% à faire des économies sur les médicaments en 2015.

Les importations des parfums sur le marché russe ont augmenté de 18% en volume et de 31% en valeur pour atteindre 187 millions de dollars au premier semestre 2017, selon les Douanes.

0,2% : c’est la baisse du commerce de détail russe pour la période de janvier à juillet 2017 comparé à la même période 2016 selon Rosstat. Le marché avait quand même affiché une petit hausse en juin et en juillet, qui n’a pas encore permis de redresser la pente.

15,5% : c’est la hausse des importations des produits alimentaires durant les six premiers mois 2017 comparés à la même période 2016 selon les Douanes. La Russie dépend fortement de ces importations pour nourrir la population.

4,6% : c’est la croissance attendue du marché des articles de sport en Russie en 2017 selon les pronostics du cabinet RBK.

4,4% : c’était l’inflation en Russie au mois de juin 2017 calculée sur douze mois glissants, selon Rosstat.

32% des filiales russes des entreprises européennes estiment que le climat économique en Russie était « meilleur que prévu » au premier trimestre 2017, contre 25% qui ont constaté des résultats « moins bons que ceux attendus », dans une enquête réalisée par le cabinet GfK Rus pour le compte de l’Association of European Businesses.

10% des Russes déclarent ne plus avoir assez d’argent pour se nourrir, selon les sondages du cabinet Vtsiom. Ils sont 39% à ne pas avoir assez d’argent pour s’acheter des vêtements.

Il y a eu à peine plus de naissances que de décès en Russie en 2016, la différence s’est établie à 0,3%. Les experts s’inquiètent : en 2015 encore le nombre de naissances avait été de 1,7% supérieur au nombre de décès. La démographie russe semble repartie à la baisse sous le poids de la crise.

1,3% : c’est la prévision de la croissance russe pour 2017 par la Banque Mondiale. L’agence de notation Moody’s de son côté table sur 1,5%.

Les revenus réels disponibles des consommateurs russes ont baissé de 7,6% en avril 2017, après une baisse de 2,3% en mars et de 3,8% en février selon Rosstat.

Moins 2,5% : c’est la baisse des revenus réels disponibles des Russes en mars 2017 après une baisse de 4,1% en février, selon Rosstat.

Seulement 177 000 m² de surfaces de vente dans des centres commerciaux devraient être inaugurés en 2017 à Moscou et dans sa région contre plus de 800 000 m² en 2016, selon le cabinet CBRE.

Plus 9,6% : c’est la hausse du marché automobile russe en mars 2017 par rapport à la même période 2016 et après plusieurs années de baisses quasi-consécutives, selon AEB.

471 milliards de dollars US : c’est le volume du commerce extérieur de la Russie en 2016, en baisse de 11% par rapport à 2015 selon les Douanes.

3,2% : c’était l’inflation personnelle des consommateurs russes en janvier 2017 calculée par le cabinet Romir. L’administration avait annoncée une inflation de 0,6%.

4,5% : c’est la croissance du marché du vin d’importation en 2016 en Russie. Il a totalisé 175 millions de litres hors vins mousseux, selon les Douanes.

8,2% des consommateurs russes se déclarent totalement à l’abri de la crise, leur niveau de vie étant préservé, dans une enquête RANH qui note que cette population reste stable au fil des enquêtes.

10% des salariés russes touchent leur rémunération sous forme d’enveloppes garnies d’argent liquide, il s’agit le plus souvent du travail non-déclaré. Et encore 12% touchent une partie du salaire par virement sur le compte bancaire et une autre partie en liquide, selon un sondage du cabinet Vtsiom.

45% des consommateurs russes déclarent acheter au moment où ils en ont envie ou besoin et sans attendre les soldes, malgré la baisse du pouvoir d’achat, selon une enquête réalisée par l’association des e-commerçants AKIT et le portail KupiVip.

Moins 0,6% : c’est la baisse du PIB de la Russie en 2016 selon le dernier rapport de la Banque mondiale et les prévisions du FMI.

3,5 milliards d’euros : c’est le volume du marché du luxe en Russie en 2016, en hausse de 5% selon le cabinet Contactlab. Ce marché a connu une forte chute sur les dernières années, passant de 5,5 milliards d’euros en 2013 à 3,2 milliards en 2015.

Moins 5,8% : c’est la baisse des revenus réels des consommateurs russes sur les onze mois de l’année 2016 selon Rosstat. Il s’agit des revenus libellés en roubles, la valeur en devises a subi une baisse d’environ 10% renforcée par la dépréciation de la devise nationale.

Avec une inflation à 6% sur fond de récession, la Russie termine l’année 2016 en « stagflation ».

5 milliards d’euros : c’est le volume des achats e-commerce transfrontaliers réalisés par les Russes en 2016 selon les prévisions de l’association professionnelle AKIT. Les achats d’habillement et de chaussures sur des portails chinois en représentent la plus grande partie.

20 euros pour une part de roquefort, 13 euros le camembert : bien qu’interdits par le Kremlin, les fromages français sont de retour à Moscou grâce à l’inventivité des entrepreneurs russes.

6% : c’est la prévision de l’inflation pour l’année 2016 en Russie par le cabinet de notation Fitch. Une amélioration sensible comparée à l’inflation de 12,91% en 2015.

11 milliards d’euros : c’est le marché du e-commerce russe en 2015 selon le syndicat des e-commerçants AKIT. La part des ventes transfrontalières a atteint 29% cette année et ne cesse de croitre.

70% des Russes « ne font pas confiance au gouvernement » de leur pays, 71% « ne font pas confiance à la Douma (le parlement) » dans le sondage du cabinet Levada réalisé fin septembre 2016. La part de ceux qui « font confiance » à ces deux institutions a diminué de moitié depuis 2014.

Jusqu’à 1 300 000 m² nouveaux de surface de vente seront inaugurés dans les villes régionales en 2016, selon le cabinet immobilier Knight Frank.

Les grands distributeurs russes vont ouvrir jusqu’à 2 500 magasins en 2016 selon les calculs du cabinet CBRE.

Près de 47% des biens de grande consommation avaient été vendus en promotion au premier semestre 2016, selon Nielsen.

0,9% : c’est la baisse du PIB russe pour le premier semestre 2016 pour la valeur en roubles. Les experts de l’Ecole des Hautes études économiques russe anticipent une baisse de 1,5% du PIB sur l’année après une chute de 3,8% en 2015. Il s’agit des réductions calculées en roubles, en devises le PIB russe a baissé de près de 27% l’an dernier.

503 euros : c’était le salaire moyen en Russie lors des six premiers mois 2016 selon Rosstat. Ce salaire moyen « réel » tient compte de l’inflation. Le salaire moyen était de 595 euros lors de la même période 2015, la baisse est de 15%. Le salaire moyen en roubles est resté identique mais la dépréciation de la devise nationale a rogné les revenus des consommateurs.

21% : c’est la part des ménages qui déclarent une situation financière « en dessous de la moyenne » en 2016 contre 13% en 2013 selon Comcon, la filiale russe de l’institut de sondages français Ipsos.

170 milliards de dollars : ce sont les pertes de l’économie russe sous le poids des seules sanctions financières occidentales pour la période entre 2014 et 2017, selon le centre de recherches EEG auprès du ministère des Finances russe.

1,44 millions de voitures et utilitaires seront vendus en 2016 selon l’hypothèse de l’AEB, contre 2,94 millions en 2013.

244 millions de cartes bancaires en circulation étaient comptabilisées par la Banque de Russie début 2016, pour une population de près de 140 millions d’habitants.

7,4% : c’est l’inflation en Russie fin juin 2016 sur douze mois glissants.

Moins 6,1%, c’est la baisse du commerce de détail en Russie au mois de mai 2016, contre moins 4,9% au mois d’avril selon Rosstat. Le marché a affiché une chute de 5,7% sur les cinq premiers mois 2016. Les revenus réels des consommateurs ont baissé de 4,9% sur la même période pour la valeur calculée en roubles.

Moins 43%, c’était la baisse du marché de l’habillement en 2015 calculée en devises. Le marché se stabilisait autour de 20 milliards d’euros, selon le cabinet Fashion Consulting Group.

Le salaire moyen a chuté de 34% en Russie en 2015 pour s’établir à 558$, selon la Haute école des études économiques.

15 millions de Russes habitent dans des lieux qui ne sont pas desservis par des routes goudronnées, selon l’agence Rossavtodor.

Moins 45,7%, c’est la baisse des importations des voitures en Russie au premier trimestre 2016 par rapport à la même période 2015 selon les Douanes. Les importations des voitures se sont élevées à 52 700 unités. Les importations des poids lourds ont baissé de 38,2%, à 3 400 unités pour la même période.

Le chômage a atteint 6% en mars 2016 contre 5,8% en mars 2015 selon Rosstat. Le chômage a même reflué à 5,2% en septembre avant de remonter à nouveau, il s’agit probablement des variations cycliques. Le chômage est plus proche de 5% dans les villes mais atteint 8% dans le contexte rural. Le nombre d’actifs en Russie s’élève à près de 76 millions, soit 52% de la population.

Un million de pauvres en plus d’ici la fin de l’année, c’est la prévision de la Banque Mondiale pour la Russie en 2016. Les statistiques ont enregistré 3,1 millions de pauvres supplémentaires l’an dernier. Le nombre de personnes avec des revenus en dessous du « minimum vital » s’élevait à 19,2 millions soit 13,4% de la population fin 2015.

Moins 2,5%, c’est la prévision pour la consommation en Russie en 2016 établie par la Banque Mondiale. En 2015 la BM a constaté une baisse de la consommation de 7,9%. En 2017 la consommation ne varierait quasiment pas selon les prévisions, avant d’entamer une timide remontée avec plus 1,5% en 2018.

2,16 milliards de dollars : c’est le marché des téléviseurs à écran plat en Russie en 2015, selon Gfk.

Moins 9,5% : c’est la baisse des salaires réels en 2015 en Russie selon les dernières données corrigées du ministère du Travail.

26 millions de smartphones ont été vendus en Russie en 2015, soit une baisse de 8% en volume par rapport à l’année précédente, selon les statistiques cumulées des détaillants. Calculées en roubles, les ventes ont augmenté de 6% environ, sur fond d’une forte dépréciation du rouble.

A moins 36%, les ventes automobiles ont affiché une forte chute en 2015 en Russie selon AEB.

La Russie comptait 84 millions d’internautes fin 2015, soit 4 millions de plus que l’année précédente, selon Gfk.

Avec moins 17%, la consommation de la presse papier a diminué en Russie entre 2012 et 2015 au profit d’Internet et des livres électroniques selon une étude Deloitte.

Les ventes d’habillement Homme subiront une érosion de 8,8% en 2015 selon les pronostics du cabinet RBK Research. Certaines gammes seront davantage touchées, les ventes des costumes ont déjà baissé de 38% en volume au printemps.

Moins 7% : c’est la baisse des dépenses des Russes pour les fêtes de fin d’année en 2015 selon l’enquête annuelle Deloitte. Les dépenses festives du foyer russe seront inférieures à 217 euros en moyenne. Les dépenses des foyers français restent constantes à 577 euros.

2,3 millions de pauvres en plus : c’est la hausse enregistrée par l’agence Rosstat sur la période de janvier à septembre 2015. Le nombre de Russes pauvres a dépasse 20 millions sur cette période, soit 14,1% de la population. Le seuil de pauvreté pris en compte s’élevait à 129 euros par personne au 3ème trimestre 2015.

15,7% : c’était l’inflation au mois de septembre 2015 en glissement annuel.

8,6% : c’est la baisse des ventes du commerce non-alimentaire pour la période de janvier à septembre 2015 comparée à la même période 2014 selon le ministère russe de l’Economie.

31% des consommateurs avouent piocher dans leurs économies pour couvrir les dépenses quotidiennes, selon une enquête réalisée par le cabinet VTSIOM fin septembre 2015.

Une récession comprise entre 3,9% et 4,4% : c’est la dernière prévision de la Banque de Russie pour 2015. Ses analystes s’attendent à une aggravation du phénomène d’ici la fin de l’année. La réduction du PIB russe avait atteint 4,6% au mois de juillet sur douze mois glissants contre 4,2% en juin.

L’inflation a atteint 15,8% au mois d’août 2015 sur douze mois glissants selon la Banque de Russie. Au mois de juillet l’inflation était de 15,6% sur douze mois glissants.

Près de 17% des Moscovites et 38% des jeunes entre 18 et 24 ans rêvent de quitter la Russie pour s’installer dans un pays plus stable, avec un meilleur climat politique et économique et un niveau de vie plus élevé, selon un sondage du cabinet Vtsiom réalisé début septembre 2015.

9,4%, c’est l’inflation pour les six premiers mois 2015 selon Rosstat. Les différentes prévisions tablent sur une inflation comprise entre 15% et 17% sur l’ensemble de l’année 2015 en Russie.

Les salaires réels ont baissé de 9,2% en juillet 2015 par rapport à la même période 2014 selon Rosstat.

Le chômage a atteint 5,4% en juin 2015 contre 4,9% en juin 2014 selon le ministère du Travail russe.

6,4% : c’est la baisse des revenus réels de la population russe au mois de mai 2015 selon Rosstat.

39% des consommateurs déclaraient rechercher des revenus complémentaires plutôt que réduire leur consommation entamée par la baisse du pouvoir d’achat dans une enquête du cabinet FOM au mois de juin 2015.

Les ventes d’habillement en Russie se sont rétrécies de 17% en valeur calculée en roubles et de 35% en volume lors des six premiers mois 2015 selon le cabinet Infoline.

Près de 15,8% : c’était l’inflation calculée sur douze mois glissants par le ministère de l’Economie, début juin 2015.

Le réseau des agences bancaires à travers la Russie s’est rétréci de 5% depuis le début de l’année 2015 pour atteindre 39 470 points de vente début mai, selon la Banque centrale russe.

Moins 2,4% : c’est la baisse du PIB russe pour la période janvier-avril 2015 selon le ministère de l’Economie.

Moins 4,5%, c’est la réduction de la production industrielle russe en avril 2015 selon Rosstat. C’est la baisse la plus importante constatée depuis octobre 2009.

17 milliards d’euros, c’est la hausse du déficit du budget fédéral durant la période de janvier à avril 2015, selon le ministère des Finances russe. Ce montant est supérieur à 1% du PIB russe annuel.

22 millions de personnes en âge de travailler, soit 25% des actifs ne versaient aucune cotisation sociale en 2014, selon les calculs d’Olga Golodetz, vice-Premier ministre russe en charge des questions sociales.

16,9% : c’était l’inflation en mars 2015 calculée en glissement annuel, selon Rosstat.

En forte hausse, la part des dépenses alimentaires dans les budgets des foyers russes devrait atteindre 50% à 55% sur l’ensemble de l’année 2015 selon les analystes de la banque VTB Capital. Cette part était encore de 36% en automne 2014.

Les retraites réelles corrigées de l’inflation ont baissé de 2,9% en février 2015 par rapport au même mois 2014 selon Rosstat.

7,7% : c’est la baisse du volume du commerce de détail en février 2015 par rapport au même mois 2014 selon Rosstat. Les salaires réels des Russes ont connu une baisse de 9,9% en février, après une baisse de 8% en janvier.

14 milliards d’euros : ce sont les crédits aux particuliers inscrits aux impayés car affichant plus de 90 jours de retard dans les remboursements. Calculé en janvier 2015 par la Banque centrale de Russie, ce total représente 8,4% de l’ensemble des crédits aux particuliers.

20% : c’est le potentiel de la hausse des ventes lors de la première et la troisième semaine du mois, du fait de la tradition du paiement des salaires en deux versements séparés, selon le cabinet Romir.

15,6% : c’était l’inflation en février 2015 calculée sur douze mois glissants selon Rosstat. Le ministère de l’Economie russe prévoit une inflation entre 17% et 17,5% au printemps. Passé ce pic, les experts du ministère s’attendent à un ralentissement de la progression de l’inflation par la réduction de la consommation.

270 millions de visiteurs : c’est la fréquentation des 14 centres commerciaux Mega Mall d’Ikea en Russie en 2014, soit 4% de plus que l’année précédente. L’ensemble des détaillants présents dans ces centres ont réalisé un chiffre d’affaires cumulé de 6 milliards d’euros en 2014, en hausse de 6% pour les résultats libellés en roubles.

8% : c’est la baisse du salaire réel moyen en janvier 2015 selon Rosstat. Les salaires ont enregistré une hausse nominale de 5,8% sur les douze mois précédents mais l’inflation forte a inversé le résultat.

11,4% : c’est l’inflation en Russie en 2014, contre 6,6% en 2013, selon Rosstat.

0,6% : c’est la croissance du PIB russe en 2014 selon Rosstat.

Moins 4,4% : c’est la baisse de volume du commerce de détail en Russie en janvier 2015 par rapport au même mois 2014, selon Rosstat. Les ventes des produits alimentaires ont connu une baisse un peu plus importante, de 5,5% contre 3,5% pour le segment non-alimentaire.

210 milliards d’euros (254 milliards de dollars) : ce sont les importations sur le marché russe en 2014 tous segments confondus, en baisse de 8,2% par rapport à 2013 selon les Douanes russes.

15,7 milliards d’euros : ce sont les achats des devises par les consommateurs russes au quatrième trimestre 2014 pendant la chute du rouble, selon la Banque centrale russe. Soit dix fois plus que pendant le trimestre précédent. Il s’agit seulement des achats déposés sur les comptes bancaires et à l’exception de ceux, fort importants, gardés en liquide dans des coffres forts des banques ou à domicile.

48% des Russes « ne comprennent pas et n’approuvent pas les terroristes qui ont attaqué Charlie Hebdo », selon un sondage réalisé par le cabinet Vtsiom, contre 44% qui « comprennent » ou « approuvent » les terroristes (39% et 5% respectivement). La part de ceux qui déclarent comprendre ou approuver les attentats contre Charlie Hebdo est plus forte chez les 18-44 ans, entre 46% et 48%. Près de 25% des Russes rejettent la responsabilité des attentats sur le gouvernement français qui ne censure pas la presse, et 30% pensent qu’ils sont de la faute des journalistes eux-mêmes. Et 13% les attribuent à la violence des intégristes islamistes ou à leur mépris de la liberté d’expression.

11,5% : c’est la prévision de l’inflation pour le premier trimestre 2015 selon la Banque centrale russe. L’inflation a été de 6,6% en 2013. Elle avait grimpé à 10,4% en décembre 2014.

Une récession jusqu’à 5,5%, c’est la prévision de l’agence Moody’s pour l’économie russe en 2015. La Banque centrale russe table sur une récession de 4,8%.

Près de 75 roubles pour un euro : c’est le taux de change constaté début janvier 2015. Le taux de change a été de 45 roubles pour un euros début 2014.

A 67,8 roubles pour un euro début décembre 2014, la devise russe a perdu plus de 50% de sa valeur au taux de change en glissement annuel.

Un peu plus de 50 000 roubles soit 1000 euros : c’est le salaire moyen à Moscou en octobre 2014 selon les enquêtes de la mairie. A l’échelle nationale le salaire moyen était de 690 euros en mai 2014 selon Rosstat.

110 euros le mètre carré : c’est le prix annuel moyen de location d’entrepôt dans la région de Moscou (140 USD). Soit 2 à 2,5 fois plus qu’en France.

Les importations russes se sont élevées à près de 120 milliards d’euros (152,8 milliards de dollars) pour les six premiers mois 2014. Les importations affichent une baisse de 5,1% par rapport à la même période 2013. Les exportations russes, de près de 200 milliards d’euros, ont augmenté de 1,3% sur la même période. L’excédent de la balance commerciale russe est en progression.

Une réduction de 0,3%, c’est l’évolution du salaire moyen effectif calculé en glissement annuel au troisième trimestre 2014 dans une enquête du Centre de recherches de l’Ecole supérieure de l’économie russe. Les chercheurs s’attendent à une baisse des salaires réels de près de 1,9% en 2015.

4 milliards d’euros : c’est la diminution des dépôts bancaires en roubles en octobre 2014 due au retrait des fonds par les consommateurs, selon les calculs de l’agence Fitch.

Nulle en 2014 et négative de 0,2% en 2015 : ce sont les prévisions de la croissance russe réalisées par la Banque européenne pour la reconstruction et le développement. « L’économie russe sera sous la pression des sanctions occidentales et de celles que Moscou a imposées à l’Occident en retour », note la banque.

Les centres commerciaux en chantier totalisaient plus de 5 millions de mètres carrés de surface de vente au premier semestre 2014 en Russie, selon une étude du cabinet CBRE.

Une robe toutes les 60 secondes : c’est la fréquence d’achat des consommatrices russes sur Ebay, selon les statistiques de l’entreprise. Des montres et des colliers font aussi partie des articles les plus commandées.

Plus de 50 roubles pour un euro : le taux de change de la devise nationale a franchi une barre symbolique, continuant son glissement entamé au début de l’année. Le rouble a perdu un peu plus de 16% de sa valeur par rapport à l’euro sur les douze derniers mois.

Le volume des échanges entre la Russie, le Kazakhstan et la Biélorussie a baissé de 13% entre le premier trimestre 2013 et le premier trimestre 2014. L’Union douanière entre ces trois pays a visiblement du mal à démarrer. La Commission économique eurasienne qui chapote cette union, explique la baisse par la diminution des achats de pétrole russe.

Les salariés russes consacrent environ 21% de leurs revenus à rembourser les crédits en cours en 2014. Près de 47% des consommateurs ne réalisent aucune épargne selon les informations collectées par The Village, un magazine local sur internet.

84% des Russes soutiennent l’embargo sur les importations des produits alimentaires des pays occidentaux, selon une enquête du cabinet Vtsiom. Ils sont seulement 9% à désapprouver l’embargo. Cependant à Moscou et à St Petersbourg, la part des contestataires grimpe à 17%.

Entre 30% et 50% selon les saisons : c’est la part des importations dans la gamme des produits frais dans les rayons de la grande distribution russe, selon les statistiques de l’association des producteurs AKKOR.

50% des Russes se disaient persuadés que les prix n’allaient pas augmenter plus vite dans le mois à venir, dans une enquête du cabinet FOM réalisée début août. Et 47% des personnes interrogées estimaient que les prix de détail « ont augmenté le mois dernier à la même vitesse que d’habitude ».

71% des consommateurs russes jugent que le nombre de centres commerciaux à leur disposition est aujourd’hui supérieur à ce qui est nécessaire, dans une enquête réalisée par le quotidien Gazeta.ru auprès de 11 000 internautes début juin 2014.

3,2 milliards d’euros : c’est le marché des ventes directes en Russie en 2013, en hausse de 3,1% pour les résultats libellés en roubles, selon l’association professionnelle des ventes directes (APP).

33% des Russes admettent ne pas déclarer l’ensemble de leurs revenus au fisc, dans une enquête réalisée par le quotidien Gazeta.ru auprès de 10 937 internautes.

3100 euros : c’est le montant moyen d’un dépôt bancaire des consommateurs russes, selon l’Agence d’assurance des dépôts.

48% des consommateurs russes ont au moins une carte de crédit, dont 25% qui disposent de plusieurs cartes, selon une enquête réalisée par le quotidien Gazeta.ru auprès de plus de 15 000 internautes début juin 2014. Près de 40% des consommateurs ne possèdent qu’une carte de retrait.

L’inflation devrait atteindre 7,8% au mois de juin 2014 calculée sur douze mois glissants, selon Aleksei Oulukaiev, ministre de l’Economie russe.

37% des Russes pensent appartenir à la « classe moyenne », selon une enquête du portail de recrutement Superjob.ru. Ce taux n’a pas varié depuis 2009.

Le nombre d’internautes russes qui fréquentent les sites de e-commerce a atteint 30 millions en 2013, soit environ la moitié des internautes actifs, selon les données de l’Association professionnelle des web-marchands AKIT et du cabinet Markswebb Rank & Report.

Près de 41% des consommateurs russes utilisent la carte bancaire pour des paiements au moins une fois par semaine sinon plus souvent, selon une enquête de MasterCard qui note que cette proportion a doublé en trois ans.

261 millions de visites en 2013 : c’est la fréquentation des quatorze centres commerciaux Mega Mall d’Ikea en Russie.

96% des Russes considèrent que la bonne santé est la valeur la plus importante dans leur vie, dans une enquête réalisée par le cabinet Vtsiom pour le labo Bayer.

540 milliards d’euros : c’est le marché du commerce de détail en Russie en 2013 selon Rosstat. Il a affiché une hausse de 3,9% par rapport à l’année 2012 à prix constants. La croissance de ce marché a été de 6,3% en 2012 par rapport à 2011 Les produits non-alimentaires pèsent près de 53% dans l’ensemble.

Trois paires de jeans par an : c’est la consommation moyenne chez les hommes russes, selon les estimations d’Eroglu, un groupe d’habillement originaire de Turquie. Le consommateur compte entre cinq et huit paires de jeans dans sa garde-robe.

70% des Russes de moins de 45 ans estiment que s’ils devaient perdre leur emploi, ils retrouveraient un poste équivalent dans les deux ou trois mois qui suivent, selon un sondage du fond Obshestvennoe Mnenie. La part des optimistes descend à 52% pour la tranche des 46 – 60 ans.

4% : c’est la hausse du revenu réel des Russes en 2013, selon Aleksei Ouliukaev, le ministre du Développement économique.

64% des Russes détenteurs de cartes de crédit Visa Premium s’attendent à une hausse de leurs revenus en 2014, selon une enquête réalisée par l’organisme bancaire.

41 milliard d’euros : c’est le marché du factoring en Russie en 2013, en hausse de 25% par rapport à l’année précédente, selon l’association professionnelle locale AFK.

1,3% : c’est la croissance du PIB russe en 2013 selon Rosstat. La croissance a été de 3,4% en 2012.

4,5 milliards d’euros par an : c’est l’argent de poche des jeunes Russes, selon les analyses du quotidien Vedomosti. Les adolescents deviennent une cible de choix pour les marques qui doivent adapter leur communication aux canaux préférés des jeunes, en particulier les réseaux sociaux.

41,6 millions de téléphones mobiles y compris des smartphones ont été vendus en Russie en 2013, soit une baisse de 1% par rapport à 2012, selon les analystes du détaillant Evroset. Le marché avait atteint 5 milliards d’euros avec une croissance de 10% en valeur grâce à la hausse de la part des smartphones. Mais le détaillant s’attend à une baisse de 6% à 8% en volume et en valeur en 2014.

6,5% : c’est l’inflation en Russie en 2013 selon l’agence fédérale Rosstat.

43% des salariés russes ont changé d’employeur en 2013, selon le cabinet Kelly Services. Et 33% l’ont envisagé mais n’ont pas sauté le pas cette année.

7,5 milliards d’euros : c’est le volume du commerce de détail en 2013 dans la région de Voronej. Située dans le sud de la Russie, cette région compte 2,33 millions d’habitants dont près d’un million qui résident à Voronej, sa capitale.

Près de 67% des Russes envisagent de réduire leurs dépenses pour les fêtes de fin d’année, par rapport à l’année précédente. Tandis que 14% ont prévu de dépenser plus, selon un sondage du quotidien Commersant qui se base sur près de 7 000 réponses recueillies en ligne.

33,1 millions de Russes ont atteint l’âge légal de la retraite selon le ministère du Travail. Soit près de 24% de la population. Cet âge est de 60 ans pour les hommes et 55 ans pour les femmes, il n’a pas varié depuis 1932. De nombreux retraités travaillent pour compléter la pension qui s’élève en moyenne à 217 euros par mois. Soucieux du financement des retraites qui restent à sa charge, le gouvernement cherche à augmenter l’âge légal de la retraite. Mais la présidence russe s’y oppose par peur d’une mesure qui frapperait en priorité son électorat traditionnel.

Les ventes de tablettes numériques en Russie ont connu une hausse de 175% pour les neuf premiers mois 2013 par rapport à la même période 2012, selon une enquête réalisée pour le compte de l’enseigne spécialisée Sviaznoï. En tout, près de 4,5 millions tablettes ont été vendues durant cette période, dont environ les trois quarts fonctionnent sous Androïd.

Plus de 49% des PME russes estiment que leur chiffre d’affaire connaitra une hausse en 2013, contre 18,7% des entrepreneurs qui craignent une diminution de leur chiffre d’affaires, dans une enquête réalisée par MSP Bank.

Près de 3,2 millions de m² de centres commerciaux devraient être inaugurés en Russie entre novembre 2013 et fin de 2014, selon le cabinet Cushman & Wakefield.

4% : c’est la part des surfaces commerciales vacantes à Moscou et dans sa région en septembre 2013, selon le cabinet immobilier Praedium. Cette part était égale à 2% en septembre 2012. C’est la mise en opération des nouveaux centres commerciaux qui aurait permis d’augmenter l’offre, note le cabinet.

225 m² pour 1 000 habitants : c’est l’équipement en surfaces commerciales de qualité à Novossibirsk, selon le cabinet immobilier Knight Frank. Le taux d’équipement est de 300 m² pour 1 000 habitants à Moscou, soit un résultat relativement proche. Située au cœur de la Sibérie, la ville de Novossibirsk compte 1,5 million d’habitants.

5,3% de la population active, soit 4,013 millions de personnes étaient au chômage en Russie en juillet 2013, selon Rosstat. Le chômage a été de 5,2% en juillet 2012, son taux reste stable même s’il connait des variations saisonnières, notamment une hausse vers 6% en début d’année.

7,87 milliards d’euros : c’est le marché de l’habillement pour Enfant en Russie en 2012, selon le cabinet Discovery Research Group.

690 euros : c’est le salaire moyen au mois de juillet 2013, selon Rosstat. Il est en hausse de 13,5% par rapport au mois de juillet 2012 pour la valeur calculée en roubles et qui n’est pas corrigée de l’inflation un peu supérieure à 10% sur la période.

4,3% : c’est la hausse des revenus réels des Russes pour les sept premiers mois 2013 calculée par Rosstat.

Entre 8 et 10 milliards d’euros en 2012, tous segments compris : c’est le marché du e-commerce russe en 2012. Dont environ 7 milliards d’euros pour le commerce de détail.

Entre 1,5% et 1,7% : ce sont les commissions de paiement par carte bancaire imposées aux commerçants par les banques russes. Soit trois à quatre fois plus que les commissions pratiquées en France.

2,9% : c’est la prévision de la croissance de l’économie russe pour 2013 par l’agence Merrill Lynch. Moins optimiste, le ministère de l’Economie russe a déjà revu à deux reprises ses prévisions et table sur 1,8%.

Le PIB par habitant en Russie calculé « à parité de pouvoir d’achat », est égal à 53,7% de la moyenne des pays de l’UE en 2012 selon Eurostat. Sur cette échelle la Russie se situe entre la Bulgarie (47%) et la Turquie (56%). La France affiche un PIB PPA égal à 108% de la moyenne européenne.

200 milliards d’euros : c’est le volume des crédits à la population en juillet 2013 selon la Banque centrale russe. Qui note que ce volume a doublé sur les deux dernières années.

6,6 milliards d’euros : ce sont les ventes sur le segment Luxe en Russie en 2012, selon Euromonitor qui note une hausse de 6% sur l’année. La hausse a été de 4,6% en 2011.

13 855 euros le mètre carré par an : c’est le loyer moyen dans le commerce de rue dans le centre de Moscou en juin 2013, en hausse de 10% sur les douze derniers mois selon RRG, un cabinet immobilier local.

238 roubles soit près de 6 euros : ce sera le prix moyen du paquet de cigarettes en Russie en 2020 si le gouvernement russe suit les recommandations qui lui ont été faites par l’Organisation mondiale de santé. Le prix moyen d’un paquet de cigarettes est de 46 roubles soit 1,1 euros en 2013. Le gouvernement est tenté de suivre cette suggestion qui ferait passer ses rentrées fiscales sur le tabac de 4,55 milliards d’euros en 2012 à 17,7 milliards d’euros en 2020.

2,9% : c’est la croissance du marché de détail en Russie en mai 2013, sur douze mois glissants, selon le ministère de l’Economie russe. Cette croissance était de 4,1% en avril et de 4,4% en mars, et de 5,9% sur l’ensemble de l’année 2012.

Près de 80 milliards d’euros : ce sont les importations sur le marché russe pour la période de janvier à mai 2013, en hausse de 6,9% par rapport à l’année précédente, selon les Douanes. Sur le seul mois de mai les importations ont décliné de 12,5% par rapport au mois d’avril. Les importations de l’habillement ont affiché des baisses de 15% à 30% selon le segment par rapport au mois d’avril et jusqu’à moins 45% pour les chaussures.

7,4% : c’est l’inflation au mois de juin 2013 calculée sur les douze mois glissants, selon Rosstat. L’inflation a été de 6,6% sur l’année 2012.

La ville de Moscou compte 19 700 magasins tous segments confondus pour environ 12 millions d’habitants. 339 points de vente d’une surface totale de 122 000 m² ont ouvert au premier trimestre 2013, selon la mairie.

2,4% : c’est la dernière prévision de la croissance pour 2013 établie par le ministère de l’Economie russe. La croissance a été de 3,4% en 2012 selon l’agence Rosstat.

27 milliards d’euros : c’est le marché de l’électroménager et de l’électronique grand public en Russie en 2012, en hausse de 9,5% selon les analystes de M VIdeo, une enseigne locale parmi les leaders de ce marché.

47 milliards d’euros : ce sont les importations russes tous secteurs confondus pour le premier trimestre 2013, selon le ministère de l’Economie. Les importations ont affiché une hausse de 5,9% par rapport à la même période 2012. Sur le segment du textile et des chaussures, la hausse a été de 7,1%.

43% de tous les achats dans le commerce russe sont aujourd’hui réalisés par les hommes, selon Nielsen, qui note une hausse constante de leur part.

9 milliards d’euros : ce sont les prévisions pour le marché de l’habillement Enfant à l’horizon 2015, selon le cabinet Fashion Consulting Group. La plus forte progression sur ce marché est attribuée aux ventes en ligne.

131 milliards d’euros : c’est le marché du commerce de détail en Russie au premier trimestre 2013, en hausse de 3,9% par rapport à la même période 2012, selon Rosstat. La même hausse avait été de 7,9% au premier trimestre 2012 par rapport à 2011.

7,2% : c’était l’inflation fin mars 2013, calculée sur les douze derniers mois par le ministère de l’Economie russe. L’inflation a été de 6,6% sur l’année 2012.

72% des ménages russes avec enfants ont constaté une hausse des dépenses pour l’achat de l’habillement pour ces derniers en 2012, selon l’agence RBC Daily, qui note que la reprise de la consommation sur ce segment se poursuit en 2013.

30 milliards d’euros : c’est le marché de l’électroménager et de l’électronique grand public en Russie en 2012. Il affiche une hausse de 9,5% selon les analyses réalisées par M Video, un détaillant spécialisé qui compte parmi les leaders de ce marché et qui revendique un chiffre d’affaires de 3,95 milliards d’euros.

475 millions d’euros : c’est le segment des articles pour enfants dans le e-commerce russe en 2012, en hausse de 35%, selon Otto Group Russia.

21 milliard d’euros : c’est le chiffre d’affaire du commerce de détail à St Petersbourg en 2012, en hausse de 8,1% par rapport à l’année précédente, selon la mairie. Le commerce dit organisé est responsable de près de 56% du total.

53% des consommateurs russes ont déclaré acheter de l’habillement ou des chaussures de fabrication locale, dans une enquête réalisée par le quotidien Commersant en février 2013. Ce qui laisse deviner que 47% n’en achètent jamais.

42,37 milliards d’euros : c’est le marché de détail en Russie en janvier 2013, en hausse de 3,5% par rapport au mois de janvier 2012, selon Rosstat.

6% : c’est le taux de chômage en janvier 2013 selon Rosstat.

4% par an : c’est la hausse moyenne des salaires réels jusqu’en 2030 prévue par le ministère de l’Economie russe. Soit toujours plus que la croissance du PIB estimée à 3,2% par ce même ministère. Dans un autre scénario encore plus optimiste, la hausse des salaires réels s’établirait à 4,9% en moyenne par an.

17,2 millions de Russes disposaient de revenus inférieurs au minimum vital en janvier-septembre 2012, selon l’agence Rosstat. Soit 12,1% de la population qui affiche des revenus mensuels inférieurs à 166 euros par personne. En 2011, ils représentaient 14,3% de la population.

8% : c’est la part de l’habillement et des chaussures dans l’ensemble du marché e-commerce russe en 2012, selon le cabinet McKinsey. Le segment le plus important est celui d’achat des billets de train et d’avion, qui pèse 18% du marché.

Les importations russes ont augmenté de 4,4% en 2012 pour atteindre 210 milliards d’euros, tous segments confondus, selon les Douanes. Ce chiffre ne comprend pas les importations en provenance des pays de la CEI.

650 euros par mois : c’est le salaire moyen en Russie en 2012 selon Rosstat.

431 euros : ce sont les revenus per capita de la population russe en janvier 2013 selon Rosstat.

3,4% : c’est la croissance du PIB en 2012, selon l’agence fédérale Rosstat. La croissance était de 4,3% en 2011. Le PIB russe en valeur absolue a atteint 1 559 milliards d’euros, selon les statistiques officielles russes. A titre de comparaison, le PIB français devrait être proche de 2 000 milliards d’euros en 2012.

75,3 millions de personnes : c’est le nombre d’actifs en décembre 2012 soit 53% de la population russe, selon Rosstat. Le nombre de chômeurs a été de 4,28 millions en moyenne en 2012, avec des variations assez importantes tout au long de l’année.

10,15 milliards d’euros : c’est le marché des parfums et cosmétiques en Russie en 2012 selon Euromonitor International. Ce marché affiche une croissance réduite ces dernières années, il était proche de 9,5 milliards d’euros en 2010. Euromonotor prévoit une croissance de 2% hors inflation sur les années à venir.

6,6% : c’est l’inflation en Russie en 2012, selon l’agence Rosstat. Elle était de 6,1% en 2011 et de 8,8% en 2010.

11 milliards d’euros : c’est le marché de la contrefaçon de l’habillement et des chaussures en 2011, selon Esper Group. Soit 20% de l’ensemble des ventes sur ces segments.

1,5 milliard de litres : c’est la consommation annuelle des vodkas en Russie, selon l’agence CIFFRA. Soit environ 11 litres de vodka par habitant, nouveau-nés et vieillards compris. On peut oser la comparaison avec le marché français où la consommation du vin est proche de 50 litres par habitant.

5 335 entreprises françaises exportaient sur le marché russe en 2012, tous segments confondus, selon Ubifrance.

Près de 40 millions de Russes jouent à des jeux vidéo sur ordinateur, sur console de jeux etc. Soit 28% de la population, selon une enquête de Mail.ru Group. En France le pourcentage des joueurs est de 55% de la population selon le Syndicat national du jeu vidéo. Un chiffre qui doit beaucoup au développement des jeux sur smartphones et tablettes.

254 millions de consommateurs par an : c’est la fréquentation cumulée des quatorze centres commerciaux Mega Mall d’Ikea en Russie, très prisés par la classe moyenne.

380 milliards d’euros : c’est le chiffre d’affaires du commerce de détail en Russie pour les neuf premiers mois 2012, en hausse de 6,3% par rapport à la même période de l’année précédente, selon l’agence Rosstat. Le secteur non-alimentaire représente 54,2% du marché.

3,8 milliards d’euros : ce sont les investissements dans l’immobilier commercial sur le marché russe pour les neuf premiers mois 2012, en baisse de 17% par rapport à la même période 2011, selon le cabinet Jones Lang LaSalle.

Le marché russe totaliserait 2095 magasins de sport regroupés sous une quarantaine d’enseignes, selon une étude de BusinessStat, qui ne tient pas compte des indépendants. Intersport ainsi que les locaux Sportmaster et Sportlandia sont en tête en nombre de magasins, suivis de Nike, Puma et Adidas.

7% : c’est la dernière prévision de l’inflation pour 2012, établie par le ministère de l’Economie. Les prévisions antérieures tablaient sur 5%. L’inflation était de 6,1% en 2011 et de 8,8% en 2010.

122 euros par mois : ce sera le montant plafond de l’allocation chômage en 2013. Ce plafond reste inchangé depuis 2008. Selon les analystes locaux, le gouvernement refuse de l’indexer afin de ne pas inciter les chômeurs à déclarer leur situation. Le chômage « déclaré » et pris en compte par le gouvernement, ne dépasse pas 1 million de personnes. Le chômage calculé selon les règles de l’OMT s’élève à 4 millions de personnes soit 5,3% de la population active en octobre 2012, selon l’agence fédérale Rosstat.

23,8 milliards d’euros : c’est le volume des crédits aux entreprises affichant un défaut de remboursement en septembre 2012, selon la Banque de Russie. Soit 4,8% de l’ensemble des crédits accordés aux entreprises. En tête du peloton, les entreprises de commerce sont responsables de 30,3% des impayés soit 7,21 milliards d’euros, selon le centre Synergia. Le secteur industriel cumule 23% des impayés.

4,33 milliards d’euros : c’est le marché de la lingerie en 2011, avec une croissance de 11,1%, selon le cabinet Esper Group. Le segment mass market à lui seul représentait un marché de 1,77 milliard d’euros, avec une croissance légèrement supérieure.

10,7% : c’est la hausse du salaire moyen au premier semestre 2012 par rapport au premier semestre 2011, selon l’agence fédérale Rosstat. L’inflation n’a pas dépassé 5,9% sur la même période, selon Rosstat. Quant à la croissance du PIB, elle est plus proche de 4%.

430 millions d’euros : c’est le volume des importations de l’habillement pour le mois de juin 2012, en hausse de 20,5% par rapport au même mois 2011, selon les Douanes.

5,9% : c’est l’inflation sur les douze derniers mois glissants calculée par l’agence Rosstat en août 2012. L’inflation était de 6,1% en 2011, mais certains experts s’attendent à une légère hausse sur l’ensemble de l’année 2012.

9 milliards d’euros : c’est le volume des importations en provenance de France sur le marché russe pour les six premiers mois 2012, tous types de produits confondus, selon les Douanes russes. Soit une baisse des importations de 19% par rapport à la même période 2011. Les importations en provenance des Pays-Bas, d’Allemagne, d’Italie, des Etats-Unis, du Japon et de Chine ont augmenté sur la même période.

Ils sont 1,5 million de Russes à se balader avec trois téléphones mobiles, selon une enquête du cabinet Romir qui note qu’il s’agit quasi-exclusivement des populations urbaines. Et 26% des consommateurs utilisent deux téléphones mobiles.

244 milliards d’euros : c’est le marché du commerce de détail en Russie pour les six premiers mois 2012, en hausse de 7,1% pour le résultat libellé en roubles, selon l’agence Rosstat.

12,5% : ce sera la croissance sur le marché de l’électroménager et électronique grand public en 2012, selon les prévisions de l’agence Infoline. En 2011 sa croissance dépassait 26%, mais la baisse des revenus disponibles de la population a provoqué le ralentissement cette année.

44,6 millions de téléphones mobiles y compris smartphones seront vendus en Russie en 2012, soit 12% de plus que l’année précédente, selon les prévisions d’Evroset, une enseigne spécialisée sur ce segment. A ces ventes il faudra ajouter près de 10 millions d’appareils non référencés, issus des importations « grises ». Sviaznoï, une enseigne spécialisée concurrente table sur des ventes plus proches de 38 millions d’unités en 2012.

5,5 milliards d’euros : c’est le marché russe d’ameublement en 2011, en hausse de 22,9% par rapport à 2010, selon le cabinet de conseil Amiko.

4,36 milliards d’euros: c’est le marché de la lingerie en Russie en 2011, en hausse de 14,2% sur l’année précédente, selon Esper Group.

2,16 milliards d’euros : c’est le marché de la fourrure en Russie en 2011, en hausse de 3% par rapport à 2010, selon les Douanes. Ces gammes d’habillement sont presque entièrement importées, les producteurs locaux contribuent pour 2,8% de ce marché.

200 milliards d’euros : c’est le marché du commerce de détail en Russie pour les cinq mois, entre janvier et mai 2012, selon l’agence fédérale Rosstat. Qui note que le marché a augmenté de 7,2% par rapport à la même période de l’année précédente. Cette hausse était encore plus importante pour l’habillement, +11,5%, et pour les chaussures, +17%.

686 citoyens russes disposaient d’une fortune supérieure à 77 millions d’euros (100 millions de dollars) en 2011, selon une enquête Global Wealth signée The Boston Consulting Group.

40 milliards d’euros, c’est l’estimation du marché russe de la mode en 2011 réalisée par l’agence INFOLine avec Retailer magazine. Les auteurs notent une progression de 28,7% par rapport à 2010. Près de 40% du marché sont attribués à des produits issus de la contrefaçon.

6 milliards d’euros : c’est l’estimation des achats en ligne des marchandises sur le marché russe en 2011, selon le cabinet InSales. Dont 860 millions d’euros pour l’habillement et les chaussures, soit une hausse de près de 70% sur ce segment par rapport à l’année 2010. Les estimations pour les achats des marchandises et des services indistinctement, oscillent entre 8 et 9 milliards selon les sources. Mais les analystes notent qu’aucun chiffre ne peut être fiable, puisque plus de la moitié des transactions par ce canal ne sont pas déclarées.

140 millions d’euros : c’est le marché de l’habillement pour femmes enceintes en 2011, selon le cabinet Esper. Qui note que ce segment ne dépasse pas 0,37% de l’ensemble du marché de l’habillement, et qu’il stagne depuis la crise.

1 032 millions de litres : c’est la consommation de vin en Russie en 2011 selon l’agence BusinesStat. Faute d’être ancré dans la tradition, le vin est vendu de 300% à 700% plus cher qu’en France, et sa consommation varie avec la situation économique. Elle était de 1 012 millions de litres en 2007, et de 902 millions en 2009. Les vins pétillants représentent près de 22% du volume.

116,6 milliards d’euros : c’est le marché du commerce de détail en Russie pour le premier trimestre 2012, en hausse de 7,5% par rapport à la même période 2011, selon l’agence Rosstat. Le segment non-alimentaire s’est élevé à 61,65 milliards d’euros, en hausse de 9,6%.

26,8 milliards d’euros : c’est le volume des importations sur le marché russe en provenance des pays hors CEI, pour la période de janvier-février 2012, en hausse de 20,5% par rapport à la même période 2011, selon les Douanes. Les importations de l’habillement ont affiché une hausse plus modeste, de 4,5%, et celles des chaussures, de 9%.

Le marché du bricolage DIY a atteint 19,25 milliards d’euros en 2011, en hausse de 20,3% par rapport à l’année précédente, selon l’agence Infoline. Cependant la hausse est moins forte qu’en 2010 quand elle était proche de 28%.

37,87 milliards d’euros : c’est le marché du commerce de détail en Russie en janvier 2012, en hausse de 6,8% par rapport à la même période 2011, selon l’agence fédérale Rosstat. Le non-alimentaire contribue pour 52,5% de ce chiffre, contre 51% l’année précédente. Cette dynamique serait imputable aux primes et autres bonus versés à la fin de l’année 2011, et qui ont été en partie dépensés pour des achats importants réalisés début 2012. Le volume global du marché du commerce de détail a été proche de 475 milliards d’euros en 2011.

6,3% : c’était le taux de chômage en février 2012, soit 4,82 millions de personnes, selon l’agence Rosstat. Le chômage connait une hausse légère mais constante, il était de 6,3% en janvier 2012 et de 6% en septembre 2011.

363 000 salariés soit 2,2% de l’ensemble des actifs, ont été licenciés en janvier 2012. Et 359 000 ont retrouvé un travail, selon l’agence Rosstat. Le marché du travail semble s’être stabilisé, le chômage est proche de 6,3% et ne montre pas de variation importante.

19,25 milliards d’euros : c’est le marché du bricolage (DIY&Household) en 2011, en hausse de 20% par rapport à l’année précédente pour le résultat exprimé en roubles, selon l’agence INFOLine.

550 euros : c’est le salaire moyen en 2011, en hausse de 2,6% en valeur hors inflation, selon l’agence Rosstat.

Quelques 28% des consommateurs russes déclaraient avoir des revenus juste suffisants pour se nourrir, mais insuffisants pour acheter de l’habillement en 2011, selon l’agence NAFI. Leur part était de 35% en 2004.

2,5 millions de m² de surface d’habitation ont été inaugurés à Moscou en 2011, contre 4 millions de m² en moyenne dans les années précédant la crise. Depuis le changement du maire en automne 2010, la Ville s’applique à réviser les permis de construire délivrés avant cette date.

11,77 milliards d’euros : c’est le volume des importations sur le marché russe en janvier 2012, en hausse de 27% sur la même période 2011 selon les Douanes. Les importations de l’habillement et des chaussures se sont élevées à 783 millions d’euros pour le mois de janvier 2012, en hausse de 21%.

227 millions de consommateurs ont visité les 14 centres commerciaux Mega d’Ikea Mos en Russie entre le 1er septembre 2010 et le 31 aout 2011, selon le distributeur.

476 milliards d’euros : c’est le volume du marché du commerce de détail en Russie en 2011, en hausse de 7,2% par rapport à 2010, selon l’agence Rosstat. Le poids du non-alimentaire est égal à 52,3% du marché.

42,8 milliards d’euros : c’est le budget de la Ville de Moscou en 2012, formé en grande partie grâce à la taxe professionnelle sur les sièges des compagnies pétrolières et gazières. Le budget est déficitaire de 6,3 milliards d’euros. Près de 11 milliards d’euros sont destinés au développement des transports. A titre de comparaison, le budget de la Ville de Paris est de 7,75 milliards d’euros en 2011.

Quelque 40,5 millions de téléphones mobiles ont été vendus en Russie en 2011, soit 16% de plus que l’année précédente, selon l’opérateur de téléphonie MTS. Qui note que le marché en volume avait enfin récupéré sa taille de 2008, soit avant la crise. Les ventes des smartphones ont représenté 7,7 millions d’appareils dans l’ensemble. En valeur le marché s’est élevé à 4,3 milliards d’euros, soit une hausse de 12% par rapport à l’année 2010.

4,2% : ce serait la croissance du PIB russe en 2011 selon le gouvernement. Cependant l’agence fédérale Rosstat en charge des statistiques avait annoncé quasiment le même jour une croissance de 4,3%. La divergence des chiffres laisse deviner qu’il s’agit encore des estimations.

12 milliards d’euros: c’est le marché des articles pour enfants en 2011, en hausse de près de 14%, selon l’association professionnelle ACGI. Les jouets occupent 16% à 17% du marché, ce segment affiche une croissance un peu supérieure à la moyenne.

21,1 millions de Russes soit 15% de la population, vivaient en dessous du minimum vital de 157 euros mensuels mi-2011, selon l’agence fédérale Rosstat. Leur nombre a progressé de 10% par rapport à 2010.

Avec 79 milliards d’euros d’exportations et 146 milliards d’importations pour les neuf mois 2011, la Russie est le troisième partenaire commercial de l’UE, après les Etats Unis et la Chine. Le commerce entre l’UE et la Russie a augmenté de 27% sur la même période. L’Allemagne a exporté pour 25,2 milliards en Russie pendant cette période, tous secteurs confondus. L’Italie, pour 6,9 milliards d’euros. La France est troisième, avec 5,4 milliards d’euros des exportations vers la Russie pour les neuf mois 2011.

1% : c’est la part des dépenses pour l’achat de l’habillement et des chaussures que les Russes réalisent sur Internet, selon une enquête réalisée en 2011 par le cabinet immobilier CB Richard Ellis. Cette part est de 16% en Allemagne et de 12% en Grande Bretagne.

1,7 million d’internautes russes ont acheté des articles pour enfants sur des sites marchands en 2011, selon l’agence RBC Research. Ce ne sont pas les consommateurs des régions mais plutôt ceux de Moscou et de St Petersbourg qui font plus souvent appel à ce canal.

6,1% : c’était l’inflation en 2011, selon l’agence Rosstat. En 2010 l’inflation était de 8,8%.

243 000 m² : c’est le total des surfaces commerciales de qualité à Krasnoïarsk, une ville de 990 000 habitants située en Sibérie, selon le cabinet London Consulting & Management Company. Dont près de 15% des surfaces sont inoccupées. Les deux plus grands centres commerciaux, Planeta et Yun affichent respectivement 96 000 m² et 50 000 m² de surface de vente.

54,5 millions de personnes : c’est l’audience mensuelle d’Internet en Russie en automne 2011, selon le cabinet FOM. Et dont 75% utilisent Internet tous les jours.

3,82 milliards d’euros : c’est le marché de lingerie et sous-vêtements en 2010, en hausse de 12% par rapport à l’année précédente, selon le cabinet Esper Group. Dont 2,44 milliards d’euros pour la lingerie féminine.

470 millions d’euros : ce sont les ventes en ligne d’habillement et de chaussures sur le marché russe en 2010, selon le cabinet Data Insight. Qui note que ce segment représenterait 8,2% de l’ensemble des ventes en ligne. Près de deux tiers des ventes sur ce segment sont réalisées dans les régions.

3 740 euros : c’est le prix moyen du mètre carré dans l’habitat à Moscou en septembre 2011. En hausse de 7% par rapport au mois précédent, selon l’Indicateur du marché immobilier IRN. La hausse des prix sur le marché immobilier dans la capitale a retrouvé sa croissance d’avant la crise.

12,5 millions de consommateurs par an : c’est la fréquentation du centre commercial Mega-Ikea dans la ville de Nijni. Ouvert en 2006, ce centre de 130 000 m² accueille les magasins Auchan, Ikea, Obi, ainsi que près de 170 boutiques et cafés.

695 m² pour 1 000 habitants : c’est la densité des surfaces commerciales à Moscou, selon la Ville. Cependant les cabinets immobiliers indiquent que ce chiffre intègre toutes sortes de surfaces. Tandis que la densité des surfaces commerciales modernes ne dépasse pas 300 m² pour 1 000 habitants.

6% de la population active : c’était le taux de chômage en septembre 2011, légèrement en baisse, selon l’agence Rosstat. Soit 4,6 millions de personnes, et dont un million seulement étaient bénéficiaires d’une allocation chômage.

1,28 milliard d’euros : ce sont les importations de l’habillement et des chaussures pour le mois d’août 2011, en hausse de 16% par rapport au mois d’août 2010, selon les Douanes.

34% : c’est la part des Russes qui épargnent en 2011, selon l’agence NAFI. Ils n’étaient que 24% l’année précédente.

5 milliards d’euros : c’est le marché de l’habillement et de chaussures pour enfant en 2010, selon le cabinet Discovery Research Group.

10% : c’est la dépréciation du rouble entre août et octobre 2011. Le taux de change était à 39,5 pour un euro début août 2011. La devise russe a dévissé au moment de la baisse de la note des Etats-Unis. Deux autres chutes ont suivi courant septembre. Le rouble a fini à 43,4 pour un euro, début octobre 2011.

9,5 milliards d’euros : c’est le marché des parfums est cosmétiques en Russie en 2010 selon Euromonitor.

14,4 milliards d’euros : c’est le marché de l’électroménager et l’électronique grand public pour les six premiers mois 2011 selon le cabinet GfK Russia. La hausse a été de 43,6% par rapport à la même période 2010. Ce marché est désormais de 20% supérieur à sa taille constatée pour les six premiers mois 2008, juste avant la crise.

2,6 milliards d’euros : ce sont les investissements étrangers dans le commerce de détail en Russie pour les six premiers mois 2011. Soit 2,5 fois plus que pour la même période 2010, selon les déclarations de Victor Zubkov, vice-Premier ministre russe. Qui note que cela représente 8% de l’ensemble des investissements étrangers dans l’économie nationale.

17,4 millions de téléphones mobiles ont été vendus lors des six premiers mois 2011, soit une hausse de 20% par rapport à la même période 2010, selon l’opérateur MTS. En valeur, le marché de la téléphonie mobile a atteint 1,9 milliards d’euros sur les six premiers mois 2011.

5% : c’est l’inflation pour les sept premiers mois 2011, selon l’agence fédérale Rosstat. Pour la même période 2010, l’inflation n’avait pas dépassé 4,8%.

16% par an : c’est l’estimation de la croissance du marché Enfants pour 2011 et 2012, selon l’Association professionnelle des industriels du secteur.

60% : c’est la croissance du marché de publicité contextuelle sur le Web pour les six premiers mois 2011, selon l’agence iConText qui a estimé ce marché à plus de 300 millions d’euros pour la même période.

25% par an : c’est la croissance du marché du commerce électronique en Russie actuellement, selon le fond d’investissement I-Free. Elle est soutenue par le développement des accès internet dans les régions et la hausse du niveau de vie.

4,8% : c’est l’inflation entre janvier et mai 2011 en Russie, selon l’agence Rosstat.

5,5 milliards d’euros : c’est le marché du commerce de détail en 2010 à Rostov, une ville de 1,1 million d’habitants dans le sud de la Russie, selon le quotidien Vedomosti.

29,5 milliards d’euros : c’est le marché de l’habillement en 2010, selon le cabinet Fashion Consulting Group.

1,3% : c’est la croissance du PIB russe durant le premier trimestre 2011, selon le ministère de l’Economie. La croissance a été de 4% sur l’ensemble de l’année 2010.

Quelques 167 marques ont réalisé leur entrée sur le marché russe en 2010, contre 370 marques en 1997, selon une enquête du cabinet Aegis Media, qui comptabilise les premières campagnes de communication. Toutefois cette enquête ne prend en compte que les campagnes télé, réputées incontournables pour entrer sur le marché, selon le cabinet.

8,7 millions de téléphones mobiles ont été vendus sur le marché russe au premier trimestre 2011, soit 20% de plus que pendant la même période 2010, selon les statistiques de l’opérateur de téléphonie MTS. La hausse en valeur a été de 19% sur la même période.

32 milliards d’euros : c’est le marché russe du commerce de détail en février 2011, en hausse de 3,3% par rapport au mois de février 2010, selon l’agence Rosstat. Le marché a peu évolué depuis la sortie de la crise : il était plus proche de 33,4 milliards d’euros en septembre 2010, et de 32,4 milliards d’euros en avril 2010. En dehors des variations saisonnières, les chiffres affichent aussi quelques distorsions imputables au taux de change, les statistiques d’origine étant établies en roubles.

4,3% : c’est l’inflation pour les quatre premiers mois 2011, selon Rosstat. Les analystes tablent sur une inflation entre 9,5% et 10,5% pour l’année 2011, contre 8,8% en 2010.

12,6 milliards d’euros : c’est le marché des chaussures en 2010, en hausse de 18% sur l’année précédente, selon le cabinet Esper Group.

34% : c’est la part du commerce moderne dans le commerce alimentaire sur le marché russe, contre 74% la moyenne dans le monde selon Euromonitor International. La part des enseignes de commerce organisé sur le marché de détail est de 15%, selon le cabinet.

477 : c’est le nombre d’hypermarchés sur le marché russe en janvier 2011, selon le cabinet INFOline. Ils totalisaient 3 millions de mètres carrés de surface de vente.

8% : c’est la part des hypermarchés dans les différents canaux de commerce de détail en 2010, contre 4% en 2008, selon GfK Rus.

32 millions de téléphones mobiles ont été vendus en 2010 sur le marché russe pour un chiffre d’affaires d’environ 3,5 milliards d’euros, selon l’agence Telecomdaily. Dont 3,8 millions d’unités pour le seul mois de décembre. En 2009 les ventes se sont élevées à un peu plus de 26 millions de téléphones, générant un chiffre d’environ 3 milliards d’euros.

78% des entreprises de St Petersbourg ont prévu des augmentations salariales en 2011, d’environ 10% en moyenne, selon le cabinet Case. Les salaires dans cette ville ont déjà connu des augmentations de 8% en moyenne en 2010.

4,28 millions de mètres carrés : c’est la totalité des surfaces de vente à St Petersbourg, fin 2010, selon le cabinet Astera SPb. La deuxième ville de Russie compte 4,6 millions d’habitants. Près de 470 000 m² ont ouvert l’année dernière, dont 300 000 m² pour les seuls centres commerciaux Galeria et Nevsky Center.

350 milliards d’euros : c’est le marché du commerce de détail en Russie pour la période de janvier à novembre 2010, selon le ministère de l’Economie. La hausse globale devrait s’établir à 4,5% sur l’année 2010 par rapport à 2009. Ce marché avait perdu 5% en 2009 par rapport à 2008.
A titre de comparaison, le marche français est plus proche de 460 milliards d’euros sur une année pleine.

Les importations des marchandises en Russie ont augmenté de 35,7% en novembre 2010 par rapport à la même période 2003, selon le Service fédéral des douanes. Les analystes expriment des craintes pour la balance commerciale de la Russie. Celle-ci demeure positive mais sa valeur absolue diminue rapidement.

58% des consommateurs russes déclarent que l’achat d’habillement est leur moyen préféré de dépenser l’argent disponible, dans une enquête de Nielsen.

8,5% : c’est l’inflation prévisionnelle pour 2010 en Russie, selon les dernières estimations du ministère de Finances. Mais les experts des banques tablent sur un résultat supérieur, situé dans une fourchette entre 8,6% et 9,2%. L’agence Rosstat de son côté à avancé une estimation de 8,8%.

Quelque 28% des 200 grands détaillants internationaux comptent ouvrir de nouveaux magasins en Russie en 2011, selon une enquête du cabinet CB Richard Ellis. Ils n’étaient que 24% à déclarer cette intention dans l’enquête réalisée un an plus tôt.

22,4 millions de téléphones mobiles ont été vendus entre janvier et septembre 2010, soit 24% de plus que pour la même période 2009, selon les analystes d’Evroset, leader de ce marché. Mais le niveau des ventes d’avant la crise et qui dépassait 36 millions de téléphones en 2008, ne sera pas atteint cette année : le marché ne devrait pas dépasser les 32 millions d’unités en 2010.

Près de 50,3% des internautes ont fait des achats en ligne lors des six premiers mois 2010, selon le cabinet MASMI Research group. D’autres analystes avancent des chiffres encore plus optimistes, jusqu’à 68% des internautes. Les produits de librairie représentent près de 51% de l’ensemble des ventes dans le e-commerce russe, selon le cabinet Romir.

33,4 milliards d’euros : c’est le marché du commerce de détail en Russie en septembre 2010, selon l’agence fédérale Rosstat. Soit une hausse de 4,7% par rapport à la même période 2009 pour la valeur exprimée en roubles.

Avec un marché approchant les 28 milliards d’euros en 2009 pour le textile, l’habillement et les chaussures, la Russie se trouve à la troisième place parmi les pays émergeants, après la Chine et le Brésil, selon l’Institut français de la mode.

1,8 milliard d’euros : c’est le volume du marché des jouets en Russie en 2009, selon le cabinet Step by Step. Près de 22% de ce marché sont occupés par des jeux créatifs du type Lego, c’est un des rares segments où les produits de conception locale concurrencent efficacement ceux issus des importations.

Le marché russe des ventes par correspondance devrait croître de 27% en 2010, selon les prévisions du cabinet Esper Group qui estime la valeur de ce marché à 482 millions d’euros.

Le e-commerce totalise 1,6% de l’ensemble du commerce de détail sur le marché russe, selon le cabinet Data Insight. Le e-commerce devrait atteindre 5 milliards d’euros du chiffre d’affaires en 2010, selon les estimations du cabinet FOM.

Le chiffre d’affaires du commerce moderne a augmenté en Russie de 13% en 2009 en roubles, selon Nielsen, ce qui correspond à une baisse de 1% en euros constants. Parmi les différents types de commerce sur le marché russe, c’est le commerce spécialisé qui a affiché les meilleurs résultats avec une hausse de 22%, soit près de 7% en euros constants.

2,2 milliards d’euros : c’est le volume du commerce de détail en Russie pour la période de janvier à juillet 2010 dans la région de St Petersbourg, en hausse de 11,9%, selon l’administration régionale.

507 euros : c’est le salaire mensuel moyen en Russie en septembre 2010 selon l’agence Rosstat. En province la moyenne est plus basse, par exemple dans la région de Samara elle est de 398 euros.

7,8 milliards d’euros : c’est le marché de l’habillement pour le sport en Russie en 2009, selon Fashion Consulting Group.

270 m² GLA de surface de vente pour 1 000 habitants : c’est le taux d’équipement en centres commerciaux de qualité à Moscou en juin 2010, selon le cabinet Arendator.ru. En France ce taux est plus proche de 840 m² pour 1000 habitants.

6,3% : c’est l’inflation en Russie pour la période entre janvier et fin septembre 2010, selon Rosstat.

2,2 milliards d’euros : c’est le marché de lingerie en Russie en 2009, selon le cabinet Esper Group. Qui estime que le marché russe de lingerie atteignait 2,5 milliards d’euros en 2008. Le segment de lingerie de luxe a subi la chute la plus importante, de l’ordre de 37%.

83% des enfants entre 7 et 15 ans habitant Moscou et St Petersbourg, possèdent un téléphone mobile, selon une enquête du cabinet Comcon.

26% à 28% : c’est la chute du marché de bricolage, en devises, en 2009 selon l’agence RBC. Les produits importés pèsent pour plus de 60% dans l’assortiment des grandes surfaces spécialisées.

32,6 milliards d’euros : c’est le volume du commerce de détail en Russie en avril 2010, en hausse de 4,2% par rapport au mois d’avril 2009, selon l’agence Rosstat. La part du non-alimentaire représente 51% sur le marché russe, en hausse d’un demi-pourcent par rapport à 2009.

3,8% : c’est l’inflation pour les cinq premiers mois 2010, selon l’agence Rosstat.

1,5 milliard d’euros : c’est le volume du commerce de détail à St Petersbourg en avril 2010, en hausse de 10,4% par rapport au mois d’avril 2009, selon le bureau local de statistiques Petrostat. Le commerce non-alimentaire a affiché une hausse de 13,5% sur cette période, il représente aujourd’hui 56% du total.

3,2% : c’est l’inflation au premier trimestre 2010, selon l’agence fédérale Rosstat.

17 000 m² de surface de vente : le futur Auchan dans le centre commercial Gagarainsky à Moscou, pourrait devenir l’un des plus grands magasins de l’enseigne hors de France à la rentrée 2010.

86% des consommatrices russes utilisent des produits cosmétiques, selon TNS Russie. Mais 76,3% des femmes interrogées n’en ont pas achetés courant la deuxième moitié 2009.

13% : c’est la part de l’habillement dans les dépenses des ménages après la crise, selon l’Association des industriels locaux de la mode.

Environ 5,8 milliards d’euros : c’est le volume du marché de l’électroménager en 2009, en baisse de 25% par rapport à 2008, selon Discovery Research Group. Auparavant ce marché affichait une hausse de 10% par an.

211 millions : c’est le nombre d’abonnés de la téléphonie mobile en Russie en mars 2010 selon le cabinet AC&M Consulting, soit un taux de pénétration de 150% sur le marché russe.

Le marché des articles pour enfants a dépassé 11 milliards d’euros en 2009 selon Credinform, une agence locale spécialisée dans l’information économique et les études marketing. Soit une hausse de 100% par rapport à 2006.

Le taux de chômage a atteint 9,2% de la population active en janvier 2009, selon la méthode de calcul du Bureau international du travail. Il avait déjà approché 10% en avril 2009 avant d’entamer une décrue, de courte durée apparemment.

La hausse des prix de détail a atteint 2,4% entre le 1er janvier et le 1er mars 2010, selon l’agence Rosstat. Elle a été de 3,6% pour la même période en 2009. Les experts s’attendent à un taux d’inflation de 11% – 12% sur l’année.

189 millions d’euros : ce sont les exportations françaises de vêtements vers la Russie en 2009, en chute de 32% sur l’année précédente, selon les statistiques des Douanes françaises.
L’EFTEC de son côté indique un chiffre un peu différent pour les exportations de vêtements : 204 millions d’euros, en baisse de 26% sur 2008.

323 milliards d’euros : c’est le volume du commerce de détail en Russie en 2009, en baisse de 5,5% par rapport à 2008, selon l’agence fédérale Rosstat.

Les importations des produits en provenance de la CE, tous secteurs confondus, ont baissé de 37% en 2009, selon les Douanes. La France s’en sort mieux que les autres : ses importations ont baissé de 18%, tandis que les importations allemandes ont connu une chute de 39,5%, l’Italie a perdu 30%.

1,9% : c’est la hausse des prix pour les cinq premières semaines 2010, selon Rosstat.

Le consommateur type dépensait en moyenne 288 euros par mois en 2009, selon l’agence fédérale Rosstat. Dont 16 euros pour l’achat de l’habillement et 17 euros pour l’achat des spiritueux.

Le marché des chaussures en Russie n’a pas dépassé 7 milliards d’euros en 2009, soit une baisse de 20% sur l’année précédente. Le marché russe des chaussures est occupé à 90% par des importations en provenance surtout de Chine et de Turquie, selon l’association professionnelle Obuvnoy Soyuz.

4,91 millions de téléphones mobiles 3G ont été vendus entre janvier et septembre 2009, selon le cabinet MForum Analytics. Le parc des téléphones 3g a dépassé 12 millions d’unités. Ce type de téléphone est souvent acheté pour des raisons de mode : seuls 4 millions d’abonnés utilisent l’Internet mobile offert par le réseau 3G.

27 milliards d’euros : c’est le volume du commerce de détail en Russie pour le mois de septembre 2009, selon l’agence Rosstat. Soit une baisse de 9,9% par rapport au même mois 2008. La baisse du marché russe a été de 3% pour les six premiers mois 2009 et de 5,3% pour la période de janvier à septembre 2009, toujours selon Rosstat.

240 millions de paires : c’est le volume des importations des chaussures en Russie en 2008, contre seulement 67 millions en 2004, selon les observations d’une association des producteurs locaux. Ceux-ci mettent en cause la diminution des droits de douane sur ce secteur intervenue sur les trois dernières années.

420 hypermarchés et 1500 supermarchés : c’est le parc de la grande distribution en Russie en octobre 2009, selon l’agence Infoline. A noter que la notion de l’hypermarché n’est pas bien délimitée, nombre de supermarchés se font appeler « hypers ».

8,1% : c’est l’inflation pour la période janvier – août 2009, selon l’agence fédérale Rosstat.

Le marché des jouets est estimé à près de 1,7 milliard d’euros. Il affichait une croissance de 15% avant la crise. Pendant les six premiers mois 2009, le marché a diminué de 8% en volume par rapport à la même période 2008, selon le cabinet Comcon. Les articles en provenance d’Asie occupent près de 65% du marché. Ceux d’origine locale ne dépassent pas 12%. Le reste est occupé par les marques occidentales sur le segment de moyen et haut de gamme.

Le commerce organisé en Russie a affiché une diminution de 4,3% pendant la période comprise entre janvier et juillet 2009, contre la hausse de 19,4% constatée pendant la même période 2008, toujours selon Rosstat.

1,4 million d’ordinateurs ont été importés en Russie au second trimestre 2009, selon le cabinet Gartner. Soit 13,7% de plus qu’au premier trimestre 2009, mais 40% de moins qu’au second trimestre 2008.

158 milliards d’euros : c’est le volume du commerce de détail en Russie pour les six premiers mois 2009, selon l’agence Rosstat. Soit une baisse de 3% sur l’année précédente.

5,22 milliards d’euros : c’est le volume du marché des produits électroménagers et électronique grand public en Russie pour le premier trimestre 2009, soit 22,7% de moins que pour la même période 2008, selon une étude de GfK Rus. Le segment de la téléphonie mobile et celui de la photo numérique ont le plus souffert sur le marché russe, avec moins 40,9% et moins 29% respectivement.

3 milliards d’euros : c’est le marché des articles de sport en 2008, soit 15% de plus qu’en 2007, selon l’agence In Sports.

10% : c’est le taux de chômage atteint en avril 2009, selon la méthode de calcul du BIT. Ce taux oscillait entre 5% et 6% pendant les années précédentes.

La part des produits non-alimentaires dans la structure de consommation a atteint 30% en mars 2009, selon une enquête du cabinet Romir. Sa part a été de 25% en décembre 2008, contre 44% en décembre 2007.

Le taux d’inoccupation dans les centres commerciaux était de 10% en moyenne sur le premier trimestre 2009 à Moscou, contre 1% à 2% l’année précédente.

6,156 milliards d’euros : c’est le volume du marché de l’habillement pour enfants et adolescents en 2008, selon le cabinet Fashion Consulting Group. Il a affiché une croissance de 10% en 2008, contre une moyenne de 16% par an, les années précédentes.

Le marché des chaussures en Russie s’est élevé entre 416 et 635 millions de paires en 2008, selon le cabinet Discovery Research Group. Une estimation assez floue quant à la part issue de la contrebande et la contrefaçon en Russie, et qui explique l’imprécision du chiffre. En valeur, le marché russe des chaussures pèserait entre 12 et 17 milliards d’euros, selon la même estimation. Les chausseurs locaux ont produit 52 millions de paires en 2008.

Le commerce de détail non-alimentaire en Russie a affiché une baisse des ventes de 3%, pour la première fois, en février 2009 selon Rosstat. Il était encore en hausse de 3,1% en janvier.

L’inflation a été supérieure à 1,2% au mois de mars, soit 5,3% depuis le début de l’année, selon l’agence fédérale Rosstat. Les revenus de la population se sont élevés à 43,78 milliards d’euros en février 2009, toujours selon Rosstat, tandis que les dépenses étaient proches de 43,33 milliards d’euros.

Le marché des parfums et cosmétiques en Russie a atteint 7,2 milliards d’euros en 2008, soit 8% de plus par rapport à l’année précédente, selon l’agence de conseil Staraya Krepost.

Le marché des produits électroménager et électronique grand public en Russie est estimé à 11 milliards d’euros en 2008, sans compter l’informatique et la téléphonie mobile qui pèsent près de 14 milliards d’euros sur le marché russe.

Les salaires réels ont diminués de 9,1% en janvier 2009, et les revenus disponibles ont chuté de 6,7%, selon l’agence fédérale Rosstat.

2,4% : c’est l’inflation au mois de janvier 2009, selon Rosstat

13,3% : c’est le taux d’inflation en 2008. Les prévisions pour 2009 sont comprises entre 11% et 15%, en fonction de l’évolution des prix du pétrole, selon le ministère des Finances.

23% : c’est la dévaluation du Rouble au taux de change en euros, constatée entre septembre 2008 et janvier 2009.

96% des internautes actifs ont déjà visité des magasins en ligne, et 62% y ont fait des achats, selon une enquête du cabinet Romir réalisée auprès de 1300 personnes. Près de 37% ont fait au moins un achat au cours des trois derniers mois.

Près de 70% des internautes clients du e-commerce en Russie, préfèrent payer leurs emplettes en liquide, de la main à la main au coursier qui livre la marchandise, selon une enquête du cabinet Romir. 12% des internautes russes sont prêts à utiliser une carte de crédit, et près de 10% opteraient par un système de paiement « web-money ».

Les exportations des chaussures françaises en Russie ont augmenté de 65 % en volume et de 47 % en valeur sur les cinq dernières années, selon la Fédération française de la chaussure.

Dans les dépenses des ménages pour l’habillement, l’habillement femme pèse près de 44%. L’habillement homme et enfant se chiffrent à 24% et 32% respectivement, selon une étude du cabinet Symbol-Marketing.

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